Le cerveau est composé à 75% d’eau. Il a donc besoin d’une bonne hydratation pour fonctionner parfaitement.
Boire pour s'hydrater
Il est recommandé de boire environ 1.5 litres d’eau par jour (soit 7 à 8 verres répartis dans la journée). Mais il est surtout important de boire en fonction de ses activités et de ses propres besoins, plutôt qu’à des injonctions impersonnelles. Etancher sa soif est une expérience agréable. C’est la zone cérébrale associée au plaisir, le cortex, qui est alors activée. Mais boire peut devenir rapidement désagréable une fois que l'on n'a plus soif. Le cerveau nous indique donc la bonne quantité d’eau à boire, à condition que nous sachions l’écouter.
Nos besoins en eau
Si la sensation de soif indique déjà un processus de déshydratation, il faut également prendre en compte la présence de liquides dans tout ce que nous ingérons. Une alimentation à base de végétaux (fruit et légumes) apporte une grande quantité d’eau et ne nécessite pas de boire autant qu’une alimentation à base de produits transformés et dénaturés (biscuits, pizzas, chips…). L’idéal est de bien rester hydraté tout au long de la journée, et cela dès le matin. En effet l’organisme a perdu beaucoup d’eau durant la nuit (à chaque respiration profonde l’organisme expulse de l’eau) et le cerveau est déshydraté dès le réveil. Boire un verre d’eau au lever est une bonne habitude à prendre car il permet non seulement de réhydrater le cerveau, mais il va relancer également le péristaltisme intestinal. Or le lien entre le confort intestinal et fonctionnement neurocérébral n’est plus à démontrer.
Le rôle de l'eau
L’eau permet d’éliminer les déchets. Les signes d’une déshydratation, même minime, se remarquent souvent par une baisse de l’attention, une plus grande difficulté à se concentrer, voire des maux de tête et une plus grande sensibilité au stress. En effet, notre organisme produit des déchets qui, s’ils ne sont pas évacués grâce à une hydratation efficiente, s’accumulent est irritent notamment le système nerveux. Le stress peut alors être considéré comme un signal d’alerte indiquant un taux de polluants trop important, et la nécessité de se purifier en se réhydratant. L’eau améliore également la circulation sanguine vers le cerveau, et donc son oxygénation. Ainsi, elle revitalise le cerveau, favorise la concentration et permet un meilleure fonctionnement des cellules neurocérébrales. Or le professeur Gérard Friedlander, doyen de l’université Paris Descartes, a démontré que 60% des enfants en primaire arrivent à l’école avec un déficit d’hydratation. C’est pourquoi le petit-déjeuner doit être composé avant tout d’une boisson. Et il peut être intéressant d’offrir un verre d’eau avant de commence les devoirs ou toute activité intellectuelle.
L'importance de la qualité de l'eau
A ce niveau encore, il faut que l’eau ingérée soit de bonne qualité et la plus pure possible. Or l’eau à l’état pur est très peu consommée, remplacée tout au long de la journée par du thé, des tisanes, du café, des jus de fruits, des boissons gazeuses et sodas. L’étude de Louis-Claude Vincent indique que, pour une meilleure assimilation, l’eau doit être peu minérale (120 mg de résidu à sec par litre d’eau), avec un pH compris entre 6 et 7, et une résistivité située entre 600 et 100 000 ohms. L’eau du robinet ne répond pas à ces critères. On y retrouve par ailleurs des molécules toxiques comme de l’aluminium (qui rend l’eau plus cristalline mais qui a de forts effets délétères sur le fonctionnement du cerveau) et du fluorure (neurotoxique, qui favoriserait certains troubles de l’apprentissage comme les dyslexies, les troubles de l’attention et une diminution du quotient intellectuel). Suivant sa provenance, il peut être utile de faire installer un système de filtration (voir mon article sur les systèmes de filtration) pour les eaux de boisson ou d’utiliser de l’eau en bouteille, ce qui pose alors un problème du point de vue écologique.
Je peux vous aider :
C’est le moment de faire le point, d’améliorer la qualité de l’eau que nous absorbons mais aussi de ce que nous mangeons, de se remettre à une activité physique, surveillerde son souffle et, peut-être alors, d’envisager l’arrêt du tabac.
Je peux vous accompagner sur tous ces aspects, notamment pour vous aider à arrêter de fumer avec entre autres, la méthode Chiapi qui élimine le besoin de fumer dans 85% des cas. Alors n’attendez plus pour venir me voir.
Guillemette Bourgoing Naturopathe et Réflexologue spécialisée dans l'arrêt du tabac à Villelaure Pertuis et Aix-en-Provence
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